Durant le Salon du Livre de Wallonie 2024 à Mons, j'ai eu la chance de rencontrer de nombreux auteur·rice·s, dont Aymeric Bolé (@Aymeric), qui a accepté de répondre à quelques questions pour Dixily.
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Aymeric Bolé. Après un carnet de voyages sur les routes d'Amérique du sud (Fuera, 2018) et un ouvrage collectif sur le confinement, Toda est mon premier roman.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
J'ai toujours eu l'écriture en moi. La première fois que j'ai eu accès à un logiciel de traitement de texte, j'ai commencé à écrire ce qui me passait par la tête et certains de ses personnages ont pris naissance dans mon roman presque 20 ans après les avoir imaginés. Je me souviens qu'à l'âge de dix ou douze ans, j'imprimais des petites nouvelles dans mon quartier que je vendais autour de moi.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
La vie au sens large, l'observation générale de ce qui se passe de bon ou de mauvais autour de soi. L'écriture permet de catalyser ce que l'on ressent parfois avec beaucoup d'hypersensibilité. Il suffit juste d'ouvrir les yeux et d'écouter ce que l'on ressent.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
J'ai rencontré certaines personnes durant mes voyages qui sont devenues des personnages dans mon premier roman et c'est amusant de se dire que ces personnes sont maintenant des personnages avec qui j'ai noué un lien particulier sans qu'elles le sachent.
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Toda qui signifie "merci" en hébreu. C'est un roman choral qui raconte l'histoire d'un accident de voiture du point de vue de plusieurs personnages à travers le monde. Il parle de destins croisés et de la fatalité de certaines situations.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
L'achat d'un petit carnet de notes dans les rues de Tel-Aviv lors d'un voyage.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Presque quatre années.
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
J'espère que ce livre vous fera voyager comme il m'a fait voyager en tant qu'auteur.
Si vous souhaitez suivre Aymeric Bolé
Facebook - Instagram - Site
Photo prise par Mathis Bigras (@Mat) durant le Salon du livre de Wallonie 2024 à Mons
Pour débuter cette interview et pour les personnes qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Aymeric Bolé. Après un carnet de voyages sur les routes d'Amérique du sud (Fuera, 2018) et un ouvrage collectif sur le confinement, Toda est mon premier roman.
Votre rapport à l'écriture
Quand avez-vous commencé à écrire ? Quel a été l'élément déclencheur ?
J'ai toujours eu l'écriture en moi. La première fois que j'ai eu accès à un logiciel de traitement de texte, j'ai commencé à écrire ce qui me passait par la tête et certains de ses personnages ont pris naissance dans mon roman presque 20 ans après les avoir imaginés. Je me souviens qu'à l'âge de dix ou douze ans, j'imprimais des petites nouvelles dans mon quartier que je vendais autour de moi.
Quelles sont vos sources d'inspiration ?
La vie au sens large, l'observation générale de ce qui se passe de bon ou de mauvais autour de soi. L'écriture permet de catalyser ce que l'on ressent parfois avec beaucoup d'hypersensibilité. Il suffit juste d'ouvrir les yeux et d'écouter ce que l'on ressent.
Pouvez-vous partager une anecdote intéressante ou amusante que vous avez vécue en tant qu'auteur ?
J'ai rencontré certaines personnes durant mes voyages qui sont devenues des personnages dans mon premier roman et c'est amusant de se dire que ces personnes sont maintenant des personnages avec qui j'ai noué un lien particulier sans qu'elles le sachent.
Votre dernier livre
Quel est le titre de votre dernier livre ? De quoi parle-t-il ?
Toda qui signifie "merci" en hébreu. C'est un roman choral qui raconte l'histoire d'un accident de voiture du point de vue de plusieurs personnages à travers le monde. Il parle de destins croisés et de la fatalité de certaines situations.
Quel a été le point de départ de celui-ci ?
L'achat d'un petit carnet de notes dans les rues de Tel-Aviv lors d'un voyage.
De la première idée aux dernières lignes, combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre ?
Presque quatre années.
Un dernier mot pour la fin ?
Un dernier mot pour clôturer cette interview ?
J'espère que ce livre vous fera voyager comme il m'a fait voyager en tant qu'auteur.
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Photo prise par Mathis Bigras (@Mat) durant le Salon du livre de Wallonie 2024 à Mons