Bonjour, pour bien terminer l’année, je vais vous parler de « la boite sous la péniche » de Valérie Larrivain.
« En se promenant avec son chien Benny sur les bords de Seine, Mark repère une boîte en métal sous une péniche voisine de la sienne.Il la repêche et y découvre un contenu d’objets hétéroclites, une date, un nom.
Sur fond de poésie et d’histoire, la découverte de la boîte est le préambule à l’intrigue romancée des vies d'Alice et Jacques. »
Je m’attendais à une enquête menée à partir des éléments de la boite repêchée dans la Seine et bien ce n’est pas du tout le cas, une fois la boite ouverte, on bascule directement dans la vie d’Alice petite fille de 7 ans née juste après la première guerre comme un signe d’espoir.
On y découvre ses parents et son frère des personnages un peu hors normes, mais ô combien attachants. Et puis le temps passe la petite fille devient une femme, elle épouse Jacques qui part aussitôt au front. Arrive alors pour elle une période extrêmement difficile, mais elle puise sa force dans l’amour de sa famille.
J’adore ce personnage à la fois fort et fragile, caractère qu’elle gardera toute sa vie dans le bonheur comme dans les épreuves.
Quant au style de Valérie Larrivain, il est à l’image de sa grand-mère doux et poétique. J’avoue qu’elle m’a fait pleurer plusieurs fois. J’ai beaucoup aimé ce parfum de rose qui flotte tout au long de ce roman, ainsi que les échanges entre Walter et sa sœur qui se font la plupart du temps sous forme de poésie. La chanson de Brel tourne en boucle dans ma tête depuis.
C’est un roman marquant auquel on s’attache, qui nous imprègne même une fois le livre refermé.
Bel hommage que l’auteure rend à ses grands-parents. Un premier roman très réussi.
« En se promenant avec son chien Benny sur les bords de Seine, Mark repère une boîte en métal sous une péniche voisine de la sienne.Il la repêche et y découvre un contenu d’objets hétéroclites, une date, un nom.
Sur fond de poésie et d’histoire, la découverte de la boîte est le préambule à l’intrigue romancée des vies d'Alice et Jacques. »
Je m’attendais à une enquête menée à partir des éléments de la boite repêchée dans la Seine et bien ce n’est pas du tout le cas, une fois la boite ouverte, on bascule directement dans la vie d’Alice petite fille de 7 ans née juste après la première guerre comme un signe d’espoir.
On y découvre ses parents et son frère des personnages un peu hors normes, mais ô combien attachants. Et puis le temps passe la petite fille devient une femme, elle épouse Jacques qui part aussitôt au front. Arrive alors pour elle une période extrêmement difficile, mais elle puise sa force dans l’amour de sa famille.
J’adore ce personnage à la fois fort et fragile, caractère qu’elle gardera toute sa vie dans le bonheur comme dans les épreuves.
Quant au style de Valérie Larrivain, il est à l’image de sa grand-mère doux et poétique. J’avoue qu’elle m’a fait pleurer plusieurs fois. J’ai beaucoup aimé ce parfum de rose qui flotte tout au long de ce roman, ainsi que les échanges entre Walter et sa sœur qui se font la plupart du temps sous forme de poésie. La chanson de Brel tourne en boucle dans ma tête depuis.
C’est un roman marquant auquel on s’attache, qui nous imprègne même une fois le livre refermé.
Bel hommage que l’auteure rend à ses grands-parents. Un premier roman très réussi.